LA FRANCE PITTORESQUE
Arcades ambo
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Publié le jeudi 14 avril 2016, par Redaction
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Arcadiens tous deux
 

Virgile (égl. VII) représente deux bergers, Thyrsis et Corydon, se préparant au combat de la flûte.

Ambo florents azlatibus, Arcades ambo...
(Tous deux jeunes, Arcadiens tous deux...)

Comme l’Arcadie n’était pas moins célèbre par ses ânes (roussin d’Arcadie), on dit quelquefois d’un couple de sots : Arcades ambo, et, en général, de tout couple qui, dans une circonstance donnée, prête à la malice, à la plaisanterie.

« M. Capefigue vint à Paris vers 1821, c’est-à-dire à l’époque où y arrivaient MM. Thiers et Mignet, accourus d’Aix-en-Provence pour chercher fortune, comme tant d’autres, dans la grande ville. Tandis que ces deux rivaux, Arcades ambo, mettaient leur talent naissant au service de la cause libérale, M. Capefigue se faisait recevoir élève à l’école des Chartes. » (Dictionnaire de la Conversation)

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Tous droits réservés. Reproduction interdite. N° ISSN 1768-3270.

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