Dieu me l’a donné, Dieu me l’a ôté, que le nom du Seigneur soit béni !
Paroles de Job sur son fumier. Il pense à sa fortune évanouie, et sans se laisser aller à des regrets amers, il s’incline devant la volonté du Seigneur.
« Mon cher abbé, je reçois une lettre qui m’apprend la banqueroute de ce receveur général, nommé Michel. Il m’emporte une assez bonne partie de mon bien : Deus dedit, Deus abstulit : sit nomen Domini benedictum ! » (VOLTAIRE, Lettre à l’abbé Moussenot)
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