O campagne, quand te reverrai-je !
Fatigué du bruit de la ville, Horace (livre II, sat. VI, v. 60) aspire au repos des champs :
O rus ! quando ego te aspiciam, quandoque licebit Nunc veterum libris, nunc somno et inertibus horis Ducere sollicitae jucunda oblivia vitae. |
« O campagne, quand te reverrai-je ? Quand pourrai-je, dans la lecture de des vieux auteurs, dans le sommeil ou la paresse, oublier doucement les fatigues de la vie. » Bien souvent on a répété l’exclamation d’Horace.
« Je serai au mois d’août à la Brède : O rus, quando te aspiciam ? » (MONTESQUIEU, Lettres)
Copyright © LA FRANCE PITTORESQUE
Tous droits réservés. Reproduction interdite. N° ISSN 1768-3270.