Mes yeux ont vu le sauveur que vous nous donnez
Suite du cantique de Siméon (voir Nunc dimittis servum tuum) : « Maintenant, Seigneur, vous pouvez laisser mourir en paix votre serviteur, selon votre parole, puisque mes yeux ont vu le Sauveur que vous nous donnez. »
« Si le malheur m’exilait de France, je serais heureux d’aller à Berlin pour lui seul (Frédéric II), sans aucun motif d’intérêt, pour le voir, l’entendre, et dire ensuite à la Prusse : Viderunt oculi mei salutare tuum. » (D’ALEMBERT)
Copyright © LA FRANCE PITTORESQUE
Tous droits réservés. Reproduction interdite. N° ISSN 1768-3270.