Dans l’ancien diocèse de Dax, le Santou était une contribution que les paroisses devaient payer chaque année au Chapitre cathédral. Ce nom se justifie d’une part parce que cette contribution constituait un revenu saint, sanctum ; d’autre part c’était une chose et un bien d’église ; or tout bien d’église portait le nom de « sanctum, santum ou santuarium », écrit Ducange. Reconnu et sanctionné par la loi civile...
Copyright © LA FRANCE PITTORESQUE
Tous droits réservés. Reproduction interdite. N° ISSN 1768-3270.