Dans son rapport du 25 mai 1796, l’Institut ne tarit pas d’éloges sur Conté : « Pour bien faire connaître à l’Institut le degré de confiance que méritait dès lors le travail préliminaire de ce citoyen, et l’espérance qu’il devait faire concevoir, nous observons que Conté, livré longtemps à la peinture, avait en même temps cultivé la physique, la mécanique et la chimie, qu’il avait fait des applications...
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