Ripostant aux attaques des Thiernois, les responsables de la Compagnie des rizières rédigèrent un mémoire, arguant que « la culture du riz ne serait permise nulle part si les rizières engendraient des maladies et portaient la mortalité là où elles sont établies. Cette culture serait prohibée dans tout le Levant, qui en tire de si grands avantages. Si elle était aussi funeste qu’on vient le supposer à Thiers...
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