Mme de Sévigné fut à l’avant-garde pour prôner le « remède de l’Anglais ». En 1685, alors que le crédit de l’empirique avait considérablement baissé, elle ne désarmait pas : « Je serais surprise bien agréablement si les eaux de Vichy faisaient du bien à cent lieues de la grille : je crois que le chevalier en doute comme moi...
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