LA FRANCE PITTORESQUE
Caillié échappe de peu à la mort
(Extrait de l’article paru dans le numéro 32)
Publié le jeudi 28 janvier 2010, par Redaction
Imprimer cet article Immobilisé à Timé par la fièvre en 1827, Caillié, qui s’apprêtait à quitter la ville lorsque le scorbut s’empara de lui, s’exprimera plus tard ainsi : « Mon palais fut entièrement dépouillé, une partie des os se détacha et tomba, mes dents semblaient ne plus tenir dans leurs alvéoles, mes souffrances étaient affreuses ; je craignis que mon cerveau...

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