Cette petite phrase peut être considérée plutôt comme une maxime plutôt que comme un proverbe. Elle sert d’avertissement, d’une part, aux personnes trop sévères, de ne jamais être sans pitié pour les coupables ; d’un autre côté, elle donne à entendre aux coupables qu’il n’y a pas de faute qui ne puisse leur être pardonnée, ni même être effacée complètement par le repentir.
La bienveillance est une forme de la charité, et il faut être indulgent pour les autres, si l’on veut qu’ils le soient, à leur tour, pour nous.
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