Voir trouble, avoir la berlue
Ce dicton est rapporté dans la Comédie des proverbes et employé par Molière dans le Festin de Pierre (acte II, scène 1).
Son origine se rattache à une superstition populaire qui attribue au diable et aux sorciers le pouvoir de faire danser des fantômes devant les yeux d’une personne qu’ils veulent punir d’avoir coopéré ou assisté à la malemort d’un chat, qui, comme on sait, est un de leurs animaux favoris.
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